25 juillet 2008
63.
Je le pressentais et ça se confirme.
Elle aimerait, me dit-elle, que je me laisse le temps de la réflexion.
Elle ajoute vouloir poursuivre avec moi. Elle invoque le monde que nous avons créé ; ce que nous étions, ce que nous sommes et ce que nous serons.
Mais ma décision est prise et irrévocable, pour toutes les raisons que j’ai développées ici même.
Il y a des mondes qu’on ne peut reconstruire. Je lui ai répondu en ce sens.
Je souhaite sincèrement qu’elle comprenne et l’admette. Et qu’elle ne poursuive pas cette démarche stérile qui ne fera, me semble-t-il, que rendre les choses plus douloureuses.
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